Un constat
Violence conjugale
Des femmes
des hommes
justifient le recours à la violence
conjugale dans certaines situations :
Brûle la nourriture ; Argumente avec lui ; Sort
sans le lui dire ; Néglige les enfants ; Refuse
d’avoir des rapports sexuels
1 Ivoirienne sur 2 déclare qu’elle ne peut pas refuser un rapport sexuel à son mari / partenaire.
1 femme sur 2
Soumise à des comportements de
contrôle, par exemple :
- jalousie excessive
- insistance sur le lieu où elle se trouve
Les femmes en rupture d’union et celles ayant un niveau d’instruction primaire sont plus susceptibles de subir des violences physiques et sexuelles..
1/3
des femmes ayant déjà eu un mari ou un partenaire intime a été victime d’actes de violence émotionnelle, physique ou sexuelle
Empouvoirement
Seulement
Des femmes
Victimes de violences ont cherché de l’aide, principalement auprès de leur famille et leurs amis.
Des femmes voient leur mari ou partenaire décider principalement de l’utilisation de l’argent qu’elles ont gagné.
Des femmes
De 15–49 ans actuellement en union, prennent leurs propres décisions informées concernant les relations sexuelles, l’utilisation de la contraception et les soins de santé.
Les femmes sont nettement moins susceptibles que les hommes de posséder des biens tels que des maisons ou des terres.
Et même lorsqu’elles en possèdent, elles sont moins susceptibles d’avoir un titre de propriété à leur nom.
Un CA 100%
Les membres de l’association ont dessiné un projet de centre au sein duquel les femmes en difficulté ou victimes de violences conjugales, intrafamiliales, psychologiques ou sexuelles, sont accueillies sans jugement, gratuitement, dans un cadre sécurisé et confidentiel.
KRAMOY
Félicité
Présidente et cofondatrice
Directrice des opérations Commission d’Accès à l’information d’intérêt public
MOUSSA
Corine
Vice-présidente
Juriste - Spécialiste des violences basées sur le genre
ADOU
Denise
Trésorière générale
Sage-femme spécialisée en sociologie de la santé et en santé publique
SIBOURD-BAUDRY
Albane
Trésorière adjointe
Ingénieure - Spécialisée en santé publique
Dr DE DéRIFOU
Magnatié
Secretaire générale
Cheffe du service genre du Ministère de la Promotion de la Jeunesse de Côte d'Ivoire
DACENEY
Nemidia
Secrétaire générale adjointe et cofondatrice
Suivi, Evaluation, Redevabilité et Apprentissage (SERA), Expertise France
BEKELYNCK
Anne
Conseillère scientifique et cofondatrice
Sociologue de la santé, consultante internationale
GRISOT
Maureen
Directrice Exécutive du centre Akwaba Mousso et cofondatrice
Un CA 100%
Les membres de l’association ont dessiné un projet de centre au sein duquel les femmes et les enfants victimes de violences basées sur le genre, comme les violences conjugales, intrafamiliales, psychologique, physiques ou sexuelles, sont accueillis sans jugement et gratuitement dans un cadre sécurisé et confidentiel.
KRAMOH
Félicité
Présidente et cofondatrice
Directrice des opérations Commission d’Accès à l’information d’intérêt public
MOUSSA
Corine
Vice-présidente
Juriste - Spécialiste des violences basées sur le genre
ADOU
Denise
Trésorière générale
Sage-femme spécialisée en sociologie de la santé et en santé publique
SIBOURD-BAUDRY
Albane
Trésorière adjointe
Ingénieure - Spécialisée en santé publique
DR DE SÉRIFOU
Magnatié
Secretaire générale
Cheffe du service genre du Ministère de la Promotion de la Jeunesse de Côte d'Ivoire
BEKELYNCK
Anne
Conseillère scientifique et cofondatrice
Sociologue de la santé, consultante internationale
DACENEY
Nemdia
Secrétaire générale adjointe et cofondatrice
Suivi, Evaluation, Redevabilité et Apprentissage (SERA), Expertise France
GRISOT
Maureen
Directrice Exécutive du centre Akwaba Mousso et
Cofondatrice
La maison
DES FEMMES
La Maison des femmes de Saint-Denis, en France est un lieu de prise en charge unique des femmes en difficulté ou victimes de violences. Rattachée à l’hôpital Delafontaine, elle propose une prise en charge pluridisciplinaire de proximité, avec un guichet unique.
Elle a été créée en juillet 2016 par la gynécologue Ghada Hatem.
NOS EMPRUNTS
Les piliers de la prise en charge des survivantes de violences (bienveillance - mise en sécurité - confidentialité)
Le suivi pluridisciplinaire en gestion des cas
NOS APPORTS
Un personnel ivoirien familier du contexte culturel
Le renforcement des capacités et la formation continue
AKWABA
MOUSSO
Foyer avec des dortoirs et des chambres (individuelles et familiales), une salle de jeux, un réfectoire et une cuisine.
Salle de formation
Une
ORGANISATION
Parcours
VIOLENCES
Parcours
SOCIAL
écoute &
mise en sécurité
Dans un foyer sécurisé pour les femmes et les enfants les plus vulnérables, confidentialité
Prise en charge médicale
Consultations avec un accent sur la santé reproductive et la planification familiale
- Référencement au besoin auprès des structures partenaires
Prise en chrage
psychosociale
Suivi spychologique et social
Assistance
juridique et judiciaire
Avec des avocat·es et des juristes spétialisé·es
Parcours
SOCIAL
Prévention et animation communautaire
Activités de prévention visant à créer un environnement favorable aux droits des femmes
Protection sociale
Dons de vivres et non vivres, activités socioéducatives, cercles de parole, ateliers d'amélioration de l'estime de soi
Autonomie et (ré)insertion professionnelle
Entrepreneuriat féminin, insertion professionnelle, AGR et alphabétisation
Données probantes, formations et plaidoyer
Pour mieux comprendre les besoins et proposer des améliorations
Recherche
Parcours
VIOLENCES
de mai 2023 à mai 2024
Femmes et enfants pris·es en charge
177 survivantes
et 31 covictimes
11 procédures juridiques et judiciaires financées par le centre Akwaba Mousso
6 procès pour viol sur mineure en cours
69% des femmes enregistrées sont survivantes de violences conjugales
32 femmes, jeunes filles et enfant hébergé·es au foyer
Consultations médicales /santé sexuelle et reproductive, planification familiale
45% des bénéficiaires habitent Cocody – 29% Yopougon
Répartition des survivantes par type de violence subie
No Data Found
Une survivante témoigne
Quand je suis en cours, je vois que je ne suis pas nulle comme mon mari me le disait : "tu es nulle, nulle, nulle".
Je sais que j'ai de la valeur,
ma valeur intrinsèque,
c'est ici, à Akwaba Mousso que j'ai su !
Parcours
SOCIAL
de mai 2023 à mai 2024
114 femmes vulnérables intégrées au Parcours Social
Femmes en cursus alphabétisation
Personnes sensibilisées
8 femmes diplômées de notre programme de formation et de (ré)insertion professionnelle
34 femmes et 55 enfants bénéficiaires de notre journée de Noël
113 kits de vivres et non-vivres distribués
224 visiteurs et 17 ONG dont participé à notre Forum des ONG féministes
L'opération
CAN sans harcèlement
227 personnes formées
aux techniques d’interventions de témoin pour mettre fin à une situation de harcèlement
1 module sur l’application officielle
pour signaler les incidents VBG